Les licenciements ont été une constante et, apparemment, peu d’entreprises seront exclues de la tendance. L’exemple le plus récent est celui de Google qui veut classer 10 000 employés comme « peu performants ».
Cette classification peut entraîner des licenciements ou la perte de bonus.
Les licenciements massifs deviennent une tendance chez les géants de la technologie. Ces dernières semaines, on a vu Meta licencier 11 000 employés, Twitter licencier 5 000 de ses 7 500 employés suite à l’arrivée d’Elon Musk, et on a lu des rumeurs affirmant qu’Amazon envisageait de licencier environ 10 000 personnes.
La nouveauté vient désormais de Google. Selon The Information, Google, qui parvenait jusqu’à présent à conserver ses employés, pourrait licencier une part considérable de personnes en début d’année prochaine. La spéculation est née, suite à une demande faite par l’entreprise à ses dirigeants.
Selon The Information, Google a demandé à ses responsables de créer une « liste noire » avec environ 10 000 employés, touchant 6% de l’effectif actuel. Pour entrer dans cette liste, la personne doit effectuer une « faible performance », de l’avis du gestionnaire.
Selon les données recueillies par la source, le système d’évaluation interne utilisé auparavant avait déjà abouti à l’inclusion de 2% de l’effectif mondial dans la « liste noire ». Cependant, désormais, ils entendent l’étendre, afin de détecter les salariés qui, pour diverses raisons, sont considérés comme « peu performants ». En plus de cela, il y a aussi une liste qui rassemble les noms des meilleurs employés. À son tour, le pourcentage de personnes à inclure dans cela a été réduit.
Déjà en août, Sundar Pichai, PDG de Google, avait averti les employés de la nécessité d’améliorer la productivité, les ayant invités à remplir un questionnaire pour identifier les domaines d’activité les moins nécessaires au sein de l’entreprise.
Cette « liste noire » peut non seulement entraîner des licenciements, car The Information a partagé qu’il est également possible que les employés identifiés comme étant « sous-performants » ne reçoivent pas leur prime.
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