Scientifiques, médecins et chercheurs sont constamment à la recherche de nouvelles méthodes pour faciliter la détection des tumeurs et des cancers. En ce qui concerne le cancer, plusieurs solutions intéressantes ont vu le jour ces dernières années.
Dans une enquête conjointe menée par des chercheurs britanniques, espagnols et nord-américains, il a été découvert que la protéine TLR2 pourrait être la solution à la réduction des décès par cancer du poumon.
TLR2 est associé à la sénescence, le processus naturel de vieillissement des cellules
Dans un scénario de diagnostic précoce, la protéine TLR2 pourrait être la clé de la réduction des décès par cancer du poumon. Comme l’a révélé The Independent, en plus d’aider à contrôler les défenses de l’organisme lorsque des mutations cancéreuses surviennent, des niveaux élevés de cette protéine peuvent aider à comprendre la probabilité de survie d’une personne atteinte d’un cancer du poumon.
Selon l’article, TLR2 est associé à la sénescence, le processus de vieillissement naturel des cellules humaines. Ces cellules sont présentes dans les cancers du poumon à un stade précoce, mais pas dans les cancers avancés, ce qui suggère que la sénescence peut empêcher le cancer de se développer.
Une étude a également été présentée récemment, coordonnée par l’oncologue Deborah Schrag, qui s’est présentée comme une pionnière dans le diagnostic précoce du cancer, à travers un test qui détecte s’il y a présence dans le sang d’ADN tumoral circulant, dérivé de la tumeur et présent dans le sang avant même qu’il y ait des signes de maladie chez les patients.
La recherche fonde ses résultats sur un test sanguin effectué sur 6 621 personnes de plus de 50 ans sans diagnostic de cancer ni symptômes de la maladie – en savoir plus ici.
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